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Qu’est-ce que le purgatoire de pilote ? Le purgatoire de pilote consiste à s’arrêter dans la phase pilote ou de test d’une nouvelle technologie, et par conséquent ne pas être en mesure d’en afficher des résultats et de la déployer à grand échelle. Dans cette série en trois parties, nous avons abordé les stratégies permettant aux équipes d’opérations de maintenance d’éviter le purgatoire des pilotes en se basant sur le cadre PPT (Personnes-Processus-Technologie). Nous avons couvert les personnes et les processus. Cet article est le dernier de notre série et se concentre sur la façon de choisir et de mettre en œuvre la bonne technologie pour une gestion efficace du changement afin d’éviter le purgatoire de pilote.

 

Rôle de la technologie dans la gestion efficace du changement

Problèmes technologiques qui entraînent le purgatoire de pilote

1)             Données erronées

  • Mauvaise expérience utilisateur
  • Manque de performance et d’évolutivité
Comment échapper au purgatoire de pilote grâce à la technologie ?
  • Sélectionner le bon projet
  • Centraliser et améliorer la collecte des données
  • Tenir compte de la conception de l’expérience utilisateur (UX)
  • Évaluer les technologies d’intégration
Sigga – Votre partenaire SAP certifié

 

Rôle de la technologie dans la gestion efficace du changement

Toutes les solutions technologiques ne se valent pas. Certains systèmes numériques de gestion du travail offrent un excellent retour sur investissement en peu de temps. En revanche, d’autres peuvent vous maintenir dans une situation de blocage, ou « purgatoire de pilote », où votre transformation numérique pour votre service de maintenance industrielle n’est jamais pleinement réalisée. Considérez ces 4 problèmes technologiques qui entravent l’exécution des nouvelles technologies numériques.

 

Problèmes technologiques qui entraînent le purgatoire de pilote

 

1) Données erronées

  • Avez-vous des données importantes qui dorment dans des feuilles de calcul Excel et des bases de données sur le disque dur de quelqu’un ?
  • Êtes-vous en mesure d’analyser vos anciens bons d’intervention pour déterminer à quel moment programmer une tâche de maintenance corrective ?
  • Connaissez-vous la cause profonde des défaillances des actifs ?
  • Votre personnel contourne-t-il votre système de bons d’intervention, comme SAP EAM, parce qu’il est fastidieux à mettre à jour ?

 

Ce ne sont là que quelques-uns des problèmes liés aux données qui peuvent entraver la progression de votre initiative d’automatisation de la maintenance industrielle.

 

Exemples concrets

 

Une usine pétrochimique d’Afrique du Sud a lancé une enquête pour savoir pourquoi les bons d’intervention n’étaient pas exécutés du premier coup. Elle a analysé en profondeur ses données dans SAP EAM et a trouvé 1 100 codes de raison pour l’échec d’un travail. Lorsqu’ils ont effectué une recherche sur le mot « pièce », ils ont trouvé plus de 300 raisons qui indiquaient que les pièces n’étaient pas disponibles pour effectuer la réparation. Ils n’ont pas réalisé l’étendue de leurs problèmes parce que les données n’étaient pas structurées de sorte à ce que analyse puissent être réalisées facilement. En conséquence, ils ont perdu des centaines d’heures à envoyer des techniciens sur des chantiers qu’ils ne pouvaient pas terminer, et ont perdu des milliers d’heures de capacité de production en raison des temps d’arrêt qui en ont résulté.

 

Dans ce webinaire, Rafael Padilha, directeur de la fiabilité et de l’amélioration continue chez Ingredion, décrit le défi qu’il a dû relever à son arrivée chez Ingredion. Les différents sites de production ne suivaient pas la même approche en matière de structure de données pour la gestion des actifs de l’entreprise, et le personnel n’assurait pas la maintenance de SAP EAM. Chaque groupe avait ses propres solutions de contournement car SAP était difficile à utiliser. En outre, le personnel ne comprenait pas l’intérêt de mettre à jour SAP pour identifier précisément les pertes et planifier la maintenance en conséquence.

Ces exemples soulignent la difficulté de disposer de bonnes données pour alimenter un flux de travail numérique de bout en bout.

 

Oui, les mauvaises données sont un problème de processus, mais c’est aussi un problème que la technologie peut aider à résoudre. Les anciens processus contournaient probablement les limites des systèmes existants pour collecter et structurer les données plus facilement, et pour en assurer la fidélité. Par conséquent, l’une des premières étapes d’un projet d’automatisation de la maintenance industrielle consiste à évaluer la qualité et l’exhaustivité des données dans les bases de données principales, comme SAP EAM, puis à déterminer où se trouvent ces données. Ensuite, il convient d’examiner les flux de travail à transformer numériquement en premier lieu, notamment ceux qui résoudront intrinsèquement ces problèmes. Enfin, il faut évaluer les différentes solutions pour choisir celle qui vous permettra de résoudre les causes profondes des données erronées.

 

2) Mauvaise expérience utilisateur

 

Une technologie mal conçue peut entraver son adoption et son utilisation. Si elle est vraiment mauvaise, les utilisateurs trouveront une solution de contournement. Ce qui peut rapidement nuire aux gains de productivité attendus du nouveau flux de travail numérique. Si faire le travail à l’ancienne est beaucoup plus rapide que d’utiliser le logiciel, alors il y a vraiment un problème.

Une mauvaise expérience utilisateur peut venir de la façon dont fonctionne le logiciel. Les étapes pour accomplir les tâches sont-elles intuitives ? Avec une application mobile, ce problème peut être particulièrement important. Les étapes clés du processus sont-elles clairement visibles sur un petit écran ? L’application fonctionne-t-elle de manière intuitive comme les autres applications mobiles ? L’application est-elle utilisable hors ligne ? Le technicien peut-il utiliser l’application lorsqu’elle se synchronise une fois qu’elle est à nouveau en ligne ? L’application est-elle lente ou peu réactive ? Des études sur le temps de chargement mobile montrent que 16 % des utilisateurs mobiles abandonneraient une page si elle ne se chargeait pas dans les 1 à 5 secondes. Trente pour cent feraient de même après 6 à 10 secondes.

 

Nous vivons dans un monde où l’on a peu de patience pour les problèmes de performance technologique. Aussi, même la nouvelle application numérique la plus prometteuse ne sera pas adoptée si elle est difficile à apprendre et à utiliser.

Selon Eric Schreiner dans l’article Why User Experience (UX) is the centerpiece of digital transformation (Pourquoi l’expérience utilisateur est la pièce maîtresse de la transformation numérique), « le développement d’applications mobiles est complètement différent de la création d’applications web ou de bureau – et cela vaut aussi pour l’expérience utilisateur mobile. Nombreuses sont les entreprises qui ne parviennent pas à recruter les bons talents, et voient ensuite leurs projets échouer. »

 

3) Manque de performance et d’évolutivité

 

Une nouvelle technologie numérique doit être intégrée aux systèmes existants, comme SAP EAM, pour tenir pleinement la promesse d’une visibilité et d’un contrôle de bout en bout. Pourtant, « les défis communs associés aux technologies héritées [incluent] des outils de reporting et d’analyse boulonnés qui sont connectés via un grand nombre d’intégrations personnalisées, une structure d’intégration inflexible et une visibilité limitée des flux de données entre les systèmes et les applications », selon Adam Hughes dans cet article pour Cleo : How to Integrate Legacy Systems and Modern SaaS Applications Without Disruption (Comment intégrer les systèmes hérités et les applications SaaS modernes sans heurts).

 

Par conséquent, de nombreuses transformations numériques sont bloquées en raison du processus d’intégration avec l’infrastructure existante de l’entreprise. Le problème est exacerbé lorsqu’il existe plusieurs instances de SAP EAM, en version cloud et sur site, comme c’est le cas sur les sites des grandes entreprises internationales. Ce problème peut même bloquer le dimensionnement des équipes de travail et des sites de l’entreprise, et empêche de passer le stade de la phase pilote de la mise en œuvre.

 

Les intégrations standard pour se connecter à SAP peuvent également poser problème. Les intégrations SAP classiques, couramment utilisées par les développeurs de logiciels, n’ont pas été conçues pour gérer un volume élevé d’utilisateurs et de transactions de données, comme c’est le cas pour une application mobile de bons d’intervention de maintenance. Par conséquent, une application mobile de maintenance peut présenter des problèmes de performance qui perturbent l’expérience utilisateur et entraînent des erreurs de transfert de données. Tout cela freine l’adoption de la solution et génère une incapacité technique à évoluer.

 

Pour bien entreprendre la réinvention numérique dans la maintenance industrielle, vous devez envisager des solutions numériques qui peuvent satisfaire à la fois vos exigences de convivialité et les performances d’intégration pour l’évolutivité.

 

Comment échapper au purgatoire de pilote grâce à la technologie ?

 

Votre équipe est constamment en déplacement, vous avez donc besoin de la bonne solution pour l’aider à rester au fait des calendriers de maintenance et des stocks. Votre objectif dans cette initiative d’automatisation industrielle est de gagner en productivité et de réaliser des économies. Et avec des informations en temps réel sur chaque actif, vous pouvez également augmenter l’efficacité des actifs, maximiser le temps de fonctionnement et réduire les coûts de propriété. Voici quelques conseils pour une gestion efficace du changement :

 

 

1) Sélectionner le bon projet

Choisissez le bon ensemble de processus à transformer numériquement, en commençant par les flux de travail centraux et quotidiens. L’automatisation des routines de base et la mise à disposition d’appareils mobiles permettent d’assurer un flux de travail numérique de bout en bout qui apporte d’importantes améliorations de la productivité. Et ce, tout en jetant les bases de la qualité des données, de la visibilité et de la progression du personnel sur la courbe de l’apprentissage numérique.

Selon un rapport de McKinsey, A smarter way to digitize maintenance and reliability (Numériser la maintenance et la fiabilité de façon plus intelligente), avril 2021, « Les mises en œuvre les mieux réussies de la maintenance et de la fiabilité numériques partagent trois caractéristiques communes :

  1. Ces entreprises...intègrent les technologies numériques dans une vision clairement définie de l’avenir.
  2. Elles se concentrent sur deux domaines...la maintenance prédictive et la gestion numérique du travail.
  3. ..s’assurent que les facilitateurs nécessaires sont en place, notamment des flux de travail optimisés, une infrastructure de données robuste et les capacités de leur personnel. »

 

Ces domaines représentent un large éventail de processus clés pour la maintenance et la fiabilité, depuis la planification initiale jusqu’à l’exécution et la clôture des travaux au jour le jour. En conséquence, « la mise en œuvre de solutions numériques et mobiles, en plus du système ERP de l’entreprise, peut entraîner des réductions de coûts de 15 à 30 % », selon McKinsey.

Poursuivre les processus de gestion numérique des travaux afin de jeter les bases d’autres projets d’automatisation de la maintenance industrielle, tels que la surveillance des actifs. Les alertes et notifications automatisées peuvent ensuite être intégrées dans un flux de travail numérique, défini de bout en bout, afin de tirer pleinement parti de ces technologies prédictives.

 

  2) Centraliser et améliorer la collecte des données

 

Régler les problèmes de collecte, de qualité et de stockage des données. Éliminez autant que possible les silos de bases de données et de feuilles de calcul afin de tirer pleinement parti d’une visibilité sur des données centralisées à l’échelle de l’entreprise. Et ce, afin de bénéficier d’informations complètes et d’assurer une collaboration efficace à partir du système ERP de l’entreprise.

  • Les meilleurs fabricants sont 73 % plus susceptibles de stocker des données de fabrication dans un référentiel centralisé. Aberdeen
  • Les entreprises qui réussissent 2,6 fois mieux leur transformation numérique ont mis en œuvre des outils numériques pour rendre les informations plus accessibles dans toute l’organisation. McKinsey

Stockage central des données

 

Pour de nombreuses entreprises, SAP ERP est de facto la destination des données de base. Mais le système SAP est connu pour avoir des lacunes quant aux informations essentielles nécessaires pour planifier et programmer efficacement la maintenance (comme le suivi de la disponibilité, des qualifications et des compétences de la main-d’œuvre pour l’affectation aux tâches et la création de calendriers). Il est également connu pour ne pas être convivial. Il faut donc sélectionner et former certaine personnes pour mettre à jour et maintenir les enregistrements de données.

 

N’essayez pas de contourner le système SAP ERP. Optez plutôt pour des technologies numériques et mobiles qui remédient à ces limitations tout en synchronisant fidèlement SAP EAM avec les données nécessaires à la visibilité organisationnelle, comme le statut des bons d’intervention et le suivi OEE.

 

Recherchez des solutions logicielles conçues pour s’intégrer pleinement et respecter les règles de gestion SAP, notamment en prenant en charge les processus clés pour maintenir la qualité des données dans SAP, comme la résolution des conflits de données. Certaines solutions peuvent surmonter le processus fastidieux de mise à jour des enregistrements individuels un par un. Elles utilisent pour cela des mises à jour de masse, ce qui permet d’améliorer la précision et l’exhaustivité des données tout en augmentant la productivité du personnel.

 

Capture des données

 

Utilisez les capacités des solutions numériques et mobiles pour assurer la cohérence de la structure et de la collecte des informations. Par exemple, une solution pourrait inclure des menus déroulants pour sélectionner un type de problème dans une liste lorsqu’un technicien crée une notification. La réduction des entrées de texte libre dans les systèmes au profit d’entrées structurées permet l’analyse des causes profondes des problèmes de fiabilité. Envisagez des solutions mobiles qui prennent en charge la création de formulaires pour ajouter des listes et des exigences propres à l’entreprise. Et qui prennent en charge les besoins futurs au fur et à mesure que de nouvelles technologies numériques, telles que des capteurs de surveillance de l’état, sont ajoutées pour la maintenance prédictive.

 

3) Ne pas négliger pas la conception de l’expérience utilisateur (UX)

 

Pour une adoption réussie des nouveaux flux de travail, il est essentiel que le logiciel ou l’application mobile soit créé(e) en respectant les meilleures pratiques en matière de conception de l’expérience utilisateur. La navigation dans les fonctionnalités doit être intuitive. Pour les plateformes mobiles, elle doit fonctionner comme n’importe quelle application couramment utilisée sur une plateforme Android ou Apple iOS. Comme l’a noté Eric Schreiner dans l’article Why User Experience (UX) is the centerpiece of digital transformation (Pourquoi l’expérience utilisateur est la pièce maîtresse de la transformation numérique), C’est une évidence pour les développeurs mobiles : Si votre public ne peut pas utiliser facilement votre logiciel, il ne l’utilisera pas du tout. »

Recherchez un fournisseur de logiciels expérimenté dans le développement d’applications mobiles. En outre, choisissez des applications qui sont construites en natif dans le système d’exploitation de l’appareil mobile. Les applications mobiles natives utilisent les conventions du système d’exploitation pour fonctionner comme n’importe quelle autre application. Elles peuvent également :

  • stocker des données sur le téléphone afin d’être disponibles pour une utilisation hors ligne ;
  • fournir un accès complet aux fonctions de l’appareil mobile telles que l’appareil photo, le GPS et les codes QR ;
  • tirer parti de la sécurité de l’appareil mobile, laquelle est régulièrement actualisée par le fournisseur du système d’exploitation et votre fournisseur de solution de gestion des appareils mobiles.

Tenez compte de vos flux de travail et des capacités que vous souhaitez pour assurer la sécurité, la conformité ou la saisie de données. Par exemple, vous pourriez vouloir une application capable de « déverrouiller » un bon d’intervention uniquement lorsque le technicien se trouve à proximité du bien à inspecter, afin de s’assurer que le travail est effectivement effectué. L’intégration aisée des données GPS ou Beacon est une caractéristique, la personnalisation des flux de travail sans avoir besoin d’engager des développeurs en est une autre.

 

S’agissant de la productivité, il faut également tenir compte des performances de synchronisation de l’application. Et de la possibilité de l’exécuter en arrière-plan, car cela permet au personnel de continuer à l’utiliser pendant ce processus. Enfin, l’application doit-elle se synchroniser automatiquement ou le personnel doit-il se rappeler de le faire après avoir travaillé hors ligne ? Garder les données numériques et visibles à tout moment dans les systèmes maîtres est essentiel pour la productivité globale de l’organisation.

 

4) Évaluer les technologies d’intégration

 

L’intégration logicielle avec les systèmes existants tels que SAP ERP est une étape essentielle pour réussir l’exécution et la mise à l’échelle d’une nouvelle solution logicielle d’automatisation numérique ou mobile. L’intégration avec SAP est réputée difficile et nécessite une expertise, même si la solution utilise des intégrations SAP prêtes à l’emploi.

 

Sélectionnez un fournisseur de solutions qui est partenaire SAP certifié, et examinez ses années d’expérience en matière d’intégrations réussies avec SAP. Tenez compte de vos besoins d’évolution et de vos besoins futurs : avez-vous besoin d’un fournisseur expérimenté dans l’évolution de plusieurs sites et instances de SAP ? Son logiciel est-il certifié SAP ?

 

S’agissant des performances d’intégration, recherchez des fournisseurs qui s’attaquent activement aux limites des intégrations SAP standard et prêtes à l’emploi. Tenez compte de la vitesse du logiciel et de l’application lorsque vous traitez des flux de travail à forte intensité de données, tels que les processus de bons d’intervention dans les grandes entreprises de maintenance. En outre, examinez comment la solution peut réduire et résoudre les problèmes de conflit de données avec SAP, par exemple en signalant les entrées en double des bons d’intervention distribués.

 

Sigga – Votre partenaire SAP certifié

 

Depuis 20 ans, Sigga aide les acteurs du secteur possédant de nombreux actifs à transformer leurs processus de maintenance industrielle de base grâce à des solutions automatisées et mobiles. Notre société a débuté en tant que société de services professionnels, en aidant les clients d’entreprise pour l’utilisation de SAP EAM. Nous avons constaté la nécessité de solutions numériques spécialisées qui assureraient la gestion de SAP tout en améliorant considérablement les flux de travail quotidiens du personnel de maintenance.

 

En conséquence, nous proposons une solution de planification et d’ordonnancement qui automatise un grand nombre des routines requises. Le but étant de développer un programme de maintenance préventive proactif. La solution comble les lacunes des données SAP EAM, notamment le suivi de la disponibilité, des qualifications et des compétences de la main-d’œuvre pour l’affecter à des tâches de maintenance spécifiques. La solution saisit également les calendriers d’immobilisation des actifs et vérifie automatiquement la disponibilité des pièces, y compris le délai d’exécution des commandes de pièces par les fournisseurs, afin de créer des programmes de maintenance exploitables. Grâce à la fonction de mise à jour de masse de SAP EAM, Sigga Planning and Scheduling économise des heures de saisie de données fastidieuses chaque semaine.

 

Notre application Mobile EAM connecte directement l’utilisateur à SAP EAM grâce à une interface intuitive. Son succès n’est plus à démontrer : elle a été adoptée par des milliers d’utilisateurs, comme en témoignent ces cas de réussite. Il s’agit d’une application native qui offre une expérience utilisateur et une sécurité optimales. Elle comprend une fonction permettant d’ajouter des formulaires mobiles pour faciliter la structuration et la saisie des données tout en alimentant SAP en temps réel. Les techniciens ont un accès complet aux manuels et aux instructions de travail lorsqu’ils sont hors ligne, et l’application se synchronise automatiquement lorsqu’ils sont à nouveau connectés.

 

Grâce à notre moteur d’intégration SAP unique, toutes nos solutions assurent des performances élevées même lorsqu’elles sont utilisées par des milliers d’utilisateurs accédant à un grand volume de données. Notre méthode d’intégration a fait ses preuves pour surmonter les problèmes de performance des intégrations SAP standard.

 

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